Table of Contents

Quelques questions générales

  1. En fait ne construit-on pas une filière M2 IFI/UFE avec un programme constitué de modules pour lesquels les enseignants auront accepté d'aller au Caire ?
  2. Avec la règle des 80 % d'enseignement assuré par des E/C ou assimilés de l'UNS, il nous faut donc animer sur place 16 ECTS (80% de (12 ECTS obligatoires + 8 ECTS optionnelles)), l'équivalent de 8 modules courts de la maquette M2 IFI.

Comment pourrons-nous motiver 8 de nos collègues quand les années passées, et suite à nos appels, seul 1 enseignant est aller au Caire pour un module M2 IFI ?

Quelques questions pratiques :

Qui prendra à son compte les charges de l'organisation M2 IFI/UFE et les responsabilités quotidiennes qui en découlent ? En lieu et place de quelle charge d'enseignement ?

En effet : Notre expérience sur 2 ans, avec Stéphane, nous permet de lister les exemples de surcharges suivantes et nous en oublions sûrement (Cf. le site http://iam-ami.unice.fr/ que nous gérons pour nos relations avec l'UFE et ESPRIT, comptes rendus, notes techniques, copies des documents officiels …) :

Une question générale à nouveau :

Si l'on se dirige vers un M1/M2 orienté recherche dans les thématiques “élues” :

  1. représentation et extraction des connaissances
  2. réseau
  3. systèmes à large échelle
  4. systèmes complexes (y compris bio-info)

pour lesquelles la motivation de récupérer des bons étudiants en recherche suffira à nos collègues pour s'impliquer massivement, pourquoi devons nous encore risquer de galérer avec un M2 IFI/UFE ?

Est-ce qu'il y a un truc qui nous a échappé sur ce point ?

Si non, nous proposerions la formule suivante :

  1. soit les étudiants UFE viennent à Sophia en sem. 1 du M2 IFI (ils peuvent même choisir leur filière sans qu'on doive en créer une nouvelle) selon la proposition d'Igor
  2. soit l'on ouvre que le M2 recherche avec nos collègues de Paris tel que prévu par ailleurs, hors IFI, ce qui devrait simplifier énormément de problèmes quotidiens.

Pour info :

Voici un papier, certes pas très récent (oct. 2007) mais bien éclairé sur des points qui n'ont aucune raison de changer : http://ressources.campusfrance.org/publi_institu/agence_cf/notes/fr/note_10_fr.pdf

Il mentionne en particulier la liste des coûts (p. 11 et 12) pris en charge par les établissements d'accueil pour des “formations délocalisées” et en particulier des “frais d'ingénierie pédagogique”.

Par ailleurs, en conclusion p. 16 les questions posées ne semblent pourtant pas vraiment dater de 2007 .